vendredi 31 juillet 2009

The song of the mermaids


Peinture réalisée par Anne.
Ran, la ravisseuse:

On peut voir sur les roches allongées et gracieuses,
Des sirènes chantant des mélodies charmeuses,
Accompagnées de harpes et de lyres mélodieuses,
Autour de la belle Nymphe, Ran la Ravisseuse.

Leurs longues chevelures aux teintes d’algues dorées,
Sont ceintes de coquillages et de pierres ambrées.
De beaux colliers de perles, des rivières de diamants,
Ornent leurs cous graciles, de mille feux scintillants.

Elles attendent patiemment les tempêtes déchainées,
Qui feront naufragés, les bateaux égarés,
Afin de repérer les trésors échoués,
Et de se partager le butin convoité.

Ran,la Ravisseuse, attire par son chant,
Tous les marins perdus, transis d’amour pour elle.
Elle les entraine joyeuse, vers les grands fonds mouvants,
Dans un baiser ultime, une étreinte mortelle.
Anne

Vidéo sur'The song of the mermaids':

jeudi 30 juillet 2009

Plumes d'Anges


Le passage d’un ange

Avant que l’aube n’arrête sa douce nuit,
En me faufilant à pas léger vers le lit,
Dans la pénombre repliant mes longues ailes,
Par enchantement devenant humain pour elle,
Je me suis glissé près de cet être endormi.
En sentant ma présence ses yeux m’ont sourit.
S’enroulèrent ses deux bras autour de mon cou,
Pour me faire profiter du moment si doux.
Approchant ses lèvres si près de mon visage,
Son souffle commença à faire ses ravages.
Devant cette beauté n’ayant pas l’avantage,
Je compris que nous ne resterions pas si sage.
Enroulant sa longue jambe autour de la mienne,
Mon corps s’unissait à cette tendre sirène.
Cette envie de me laisser aller étant si belle,
De communier la tentation fut bien réelle.
Par prudence en redoublant mon abstention
Pour préserver cette amitié je fis front.

Passant surveiller le repos de mon amie,
Je n’étais point venu pour faire des folies.
Profitant si bien de notre belle chaleur,
Celle-ci endolorit vite mon ardeur.
Bien plus tard quand je rouvris à nouveau les yeux,
Je sentis une main caresser mes cheveux.
Fatigué à passer mes nuits blanches de veille,
Immédiatement je sombrais dans mon sommeil.
Celui qui devait être le gardien de nuit,
Est parti au pays des songes sans grand bruit.
Rien ne parait plus beau qu’une vraie amitié,
Quand les êtres savent vraiment la préserver.
La vie réelle sait me donner des leçons,
Après réflexion j’en tire des conclusions.
Au lever du jour je dois partir à mon tour,
Pour elle redevenir un ange d’amour.
Dans nos cœurs rayonnera un beau soleil,
Celui de notre amitié qui fait des merveilles.
Joel

Vidéo sur 'Plumes d'Anges':

mercredi 29 juillet 2009

Sweet Feminity



Douce rencontre (duo ombre31 et jeanmarc2257)

Madame j'étais devant mon écran et vous êtes apparue,
je veux me garder sage, mais je tombe des nues.
Votre pseudo est Ombre, et vous irradiez la lumière,
d'un petit écrivaillon, sublimé par cet éclair.
Merci d'être venu entre mes rêves,
balbutier de tendres mots.
est-ce un élan, une flamme,
un jeu dont les règles sont dictées par l'insousciance.
La gaieté de vos vers me donne envie de m'envoler,
ma plume frémit de joie,
entre rimes et affectueuses pensées.
Une flamme Madame, pour éclairer cette ombre,
d'où sortent en douceur, des mots au goût de miel,
qui chavirent mon coeur, me sortent de la pénombre,
que ne donnerai je encore, pour voir pousser vos ailes.
Je voudrai m'envoler en toute liberté,
vers les étoiles de la tendresse.
Me poser sur une page d'amour,
là où les mots sont des perles de plaisir.
Vogue imagination...
Du regard se délecter, s'entrelacer dans un jeu raffiné,
être ce bouquet de roses, dont le parfum vous charme.
Je me dévoile à vos yeux, de plus en plus à chaque phrase.
Mais que ma page accueille vos ailes de velours,
et qu'elle soit pour vous un nouveau nid d'amour.
Je tresserai en colliers, les perles de mes mots,
sur vos épaules douces, les passerai en cerceaux.
Et ce bouquet de roses, je le dresse vers le ciel,
pour un moment, un seul, m'entourer du parfum,
qui inonderait mon monde, en bijoux et merveilles,
et à lire vos douceurs, je vous découvre enfin.
Comment vous dire toutes ces choses,
à vous inconnu des pages.
Des petits bouts de moi que le vent colporte.
Je me laisse emporter par vos mots délicats,
qui mettent mon doux coeur en éclats.
Un collier de mots dans l'écrin de mon âme,
une empreinte dans les voiles du soir.
Je veux m'endormir au creux de vos pensées,
je suis femme au coeur doux et fiévreux,
entre raison et déraison...
Et ma raison s'égare, mon coeur en déraison,
cogne dans ma poitrine de mots en pâmoison.
Je prend toutes ces phrases en de douces caresses,
qui entourent mon âme, d'étoiles d'allégresse.
Et je relis cette encre déposée par vos soins,
sur cette page blanche, où glisse votre main,
qu'un jour je frôlerai, humant votre parfum,
et déposerai mon émoi, par un doux baise-main.

Vidéo sur'Sweet Feminity':

mardi 28 juillet 2009

Fruits et fleurs


J'ai cueilli cette fleur:

J’ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline.
Dans l’âpre escarpement qui sur le flot s’incline,
Que l’aigle connaît seul et peut seul approcher,
Paisible, elle croissait aux fentes du rocher.
L’ombre baignait les flancs du morne promontoire ;
Je voyais, comme on dresse au lieu d’une victoire
Un grand arc de triomphe éclatant et vermeil,
À l’endroit où s’était englouti le soleil,
La sombre nuit bâtir un porche de nuées.
Des voiles s’enfuyaient, au loin diminuées ;
Quelques toits, s’éclairant au fond d’un entonnoir,
Semblaient craindre de luire et de se laisser voir.
J’ai cueilli cette fleur pour toi, ma bien-aimée.
Elle est pâle, et n’a pas de corolle embaumée,
Sa racine n’a pris sur la crête des monts
Que l’amère senteur des glauques goémons ;
Moi, j’ai dit : Pauvre fleur, du haut de cette cime,
Tu devais t’en aller dans cet immense abîme
Où l’algue et le nuage et les voiles s’en vont.
Va mourir sur un coeur, abîme plus profond.
Fane-toi sur ce sein en qui palpite un monde.
Le ciel, qui te créa pour t’effeuiller dans l’onde,
Te fit pour l’océan, je te donne à l’amour. -
Le vent mêlait les flots ; il ne restait du jour
Qu’une vague lueur, lentement effacée.
Oh ! comme j’étais triste au fond de ma pensée,
Tandis que je songeais, et que le gouffre noir
M’entrait dans l’âme avec tous les frissons du soir !
(Victor Hugo)

Vidéo sur'Fruits et fleurs':

lundi 27 juillet 2009

Faïences de Quimper!



La Faïence de Quimper est produite depuis 1708 dans le quartier faïencier historique de Locmaria, près du centre ville de Quimper. Sa production s'est développée en bénéficiant les gisements d'argile de l'anse de Toulven, [1] de la présence de deux cours deau, l'Odet et le Steir et d'importantes forêts environnantes.
L'important développement de la faïence de Quimper entraînera une concurrence acharnée des manufactures locales qui s'exprimera autant dans la créativité des décors que sur les bancs des tribunaux.

Vidéo sur 'Faïences de Quimper':

dimanche 26 juillet 2009

Coeur à coeur!



Coeur d'enfant, coeur joyeux, coeur amoureux, coeur meurtri ou coeur brisé, c'est toujours une histoire d'Amour!

Toute la vie d'un coeur

Or, nous cueillions ensemble la pervenche.

Je soupirais, je crois qu'elle rêvait.
Ma joue à peine avait un blond duvet.
Elle avait mis son jupon du dimanche ;
Je le baissais chaque fois qu'une branche
Le relevait.

Et nous cueillions ensemble la pervenche.

Le diable est fin, mais nous sommes bien sots.
Elle s'assit sous de charmants berceaux
Près d'un ruisseau qui dans l'herbe s'épanche ;
Et vous chantiez dans votre gaîté franche,
Petits oiseaux.

Et nous cueillions ensemble la pervenche.

Le paradis pourtant m'était échu.
En ce moment, un bouc au pied fourchu
Passe et me dit : Penche-toi. Je me penche.
Anges du ciel ! je vis sa gorge blanche
Sous son fichu !

Et nous cueillions ensemble la pervenche.

J'étais bien jeune et j'avais peur d'oser.
Elle me dit : Viens donc te reposer
Sous mon ombrelle, et me donna du manche
Un petit coup, et je pris ma revanche
Par un baiser.

Et nous cueillions ensemble la pervenche.
(Victor Hugo)

Vidéo sur'Coeur à coeur':

samedi 25 juillet 2009

White is white



Le blanc est une teinte achromatique en quête d'autres couleurs, Le blanc, universel et abstrait est comme une idée neuve qui n'aurait pas encore trouvé sa forme! Celui qui choisit cette couleur, est le vagabond, à jamais solitaire! C'est une couleur simple et pure à la fois, une couleur qui cherche à se faire connaître! Mélangez la avec d'autres couleurs, sortez de votre cocon, rejoignez les autres, car votre plus cher désir est de fonder une famille et d'affirmer votre véritable identité!
(Dorothee L, Mella)

Vidéo sur 'White is white':

vendredi 24 juillet 2009

Dans les moments difficiles...



Poème de Victot Hugo:

Le Pont

J'avais devant les yeux les ténèbres. L'abîme,
Qui n'a pas de rivage et qui n'a pas de cime,
Etait là, morne, immense ; et rien n'y remuait.
Je me sentais perdu dans l'infini muet.
Au fond, à travers l'ombre, impénétrable voile,
On apercevait Dieu comme une sombre étoile.
Je m'écriais : - Mon âme, ô mon âme ! il faudrait,
Pour traverser ce gouffre où nul bord n'apparaît,
Et pour qu'en cette nuit jusqu'à ton Dieu tu marches,
Bâtir un pont géant sur des milliers d'arches.
Qui le pourra jamais ? Personne ! O deuil ! Effroi !
Pleure ! - Un fantôme blanc se dressa devant moi
Pendant que je jetai sur l'ombre un œil d'alarme,
Et ce fantôme avait la forme d'une larme ;
C'était un front de vierge avec des mains d'enfant ;
Il ressemblait au lys que la blancheur défend ;
Ses mains en se joignant faisaient de la lumière.
Il me montra l'abîme où va toute poussière,
Si profond que jamais un écho n'y répond,
Et me dit : - Si tu veux, je bâtirai le pont. -
Vers ce pâle inconnu je levai ma paupière.
- Quel est ton nom ? Lui dis-je. Il me dit : - La prière.

Vidéo sur'Dans les moments difficiles':

jeudi 23 juillet 2009

The Holy Grail


La symbolique présumée du Saint-Graal:
Le Graal est un objet mystérieux :
* C'est un objet caché : personne ne l'a vu et il n'aura réellement accompli son rôle qu'après avoir été retrouvé.
* C'est un objet sacré aux pouvoirs puissants : seul un être pur pourra le trouver et en prendre possession.
* Selon certaines légendes, sa découverte annonce la fin des Temps Aventureux.
Pourtant, tous les chevaliers le cherchent, et le monde n'aura de paix qu'après sa découverte, mais, paradoxalement, c'est à celui qui ne le cherchait pas qu'il sera donné de le trouver, selon Wolfram. On peut ainsi donner plusieurs interprétations à la quête des chevaliers :
* L'énergie dépensée et les épreuves rencontrées font grandir ou révèlent les qualités des chevaliers, éventuellement leur permettent d'en acquérir de nouvelles. Il s'agit donc d'une quête initiatique et de révélation personnelle.
* La recherche d'un objet sacré comme but dans la vie, et même au risque de sa vie, montre que la finalité peut être plus importante que sa propre existence : vision chrétienne de la vie terrestre, vécue comme un passage avant un monde meilleur.
* Le Saint Graal déposé au centre de la Table Ronde, lieu de rencontre des puissants, marque symboliquement l'instauration du christianisme grâce aux pouvoirs temporels (politiques ou militaires). Il montre aussi la primauté du religieux sur le temporel, puisqu'il justifie les efforts accomplis par les chevaliers.
* L'ancienne civilisation celtique druidique puis médiévale païenne, chaotique, faite de magie, de sorcellerie et de superstition, se termine pour laisser place à la civilisation chrétienne.
(Wikipédia)

Vidéo sur 'The Holy Grail':

mardi 21 juillet 2009

Beautés et plaisirs d'été!


A l'ombre des platanes

L’été se prélassait à l’ombre des platanes :
Il vivait à revers, sans s’en apercevoir ;
Son chaud soleil brûlait la lumière diaphane,
Mais lui, il somnolait, tout comme un petit loir.

Il avait bien tenté de rester dans les champs,
Lorsque l’homme surveille au loin la moisson blonde,
Il avait écouté l’alouette et ses chants,
Le mulot qui détale, et l’orage qui gronde…

Mais il était bien las d’avoir autant donné,
Bien las de son labeur, de sa trop longue errance
Pour que tout un chacun puisse s’abandonner
L’un à l’œuvre de terre, et l’abeille à sa danse.

L’insecte, au souffle clair de la brise du soir,
L’animal, aux ajoncs de la brande à la brune,
Où loin de son terrier, il se penche au miroir
De l’étang qui s’endort sous un rayon de lune…

L’été se prélassait à l’ombre des platanes :
Il dormait sans façons, et sans s’apercevoir
Que le soir tamisait la lumière diaphane,
Et que déjà, la nuit mettait ses velours noirs.
(Kasia)

Vidéo sur 'Beautés et plaisirs d'été':

lundi 20 juillet 2009

'Odd Daydream'



Poème trouvé sur le net:

L'aube existe

Le compte à rebours a commencé
les jours sont comptés
les nuits s’allongent
tout le monde s’enfuit dans le noir
ne plus rien voir
même pas en songe
Les jours sont maintenant décomptés
et rien n’a pourtant commencé
Tout le monde s’allonge
se coule dans de vagues espoirs
toujours rien à espérer
de cette humanité déjantée
Nos jours sont comptés
la nuit s’avance dans les décombres
on se laisse manger par notre ombre
Pourtant, après le soir
au bout du tunnel noir
des chants se réveillent
après la nuit
la lumière prend forme
l’aube existe
il suffit de voir
de se laisser brûler les yeux
de laisser fondre le cœur
lentement
telle une pile atomique
dans l’aube irradiante
telles les radiations mutantes
d’une lumière fantastique.
(David Myriam)

Vidéo sur 'Odd Daydream':

dimanche 19 juillet 2009

Eclat de beauté 'Les fées'!



Poème trouvé sur le net:
Le jardin extraordinaire:

Elles étaient toutes assises à table. La salle était comble.
C'était un repas sans saveur ni surprise, comme la plupart des repas qui suivent des réunions de travail. Elles parlaient de tout et de rien.

Marie, perdue dans ses pensées, finit par ne percevoir que de loin en loin le brouhaha des voix,
quand brusquement sa voisine de droite, se penchant vers elle, lui confia d'une voix presque inaudible:
" C'est trop douloureux pour moi de parler de mon passé ! mais si je devais le faire un jour,
c'est à vous que je m'adresserais ! "
La dame qui venait de prononcer ces propos ne pouvait savoir que Marie, qu'elle avait choisie,
avait été initiée depuis sa plus petite enfance à reconnaître la vraie porte qui mène aux jardins secrets!
Marie savait que l'on n'y pénètre que sur invitation.
Que l'accès en est si étroit que l'on ne peut y entrer qu'avec sa seule âme d'enfant.
Et le temps passa.
A l'approche de Noël un projet mené à bien les fit se retrouver face à face devant un café fumant. Elle s'accordèrent un moment de conversations. C'est alors que la dame renouvela son invitation. Marie se tenait prête.
La dame lui montra une porte. Très grande.
Il y avait d'innombrables cadenas.
Elle se mit à les ouvrir, un à un, péniblement.
Marie remarquait qu'ils étaient bien rouillés.
N'avaient-ils même jamais été ouverts?
Puis la dame poussa la porte, l'ouvrit largement.
Marie pouvait la franchir avec son âme d'adulte.
La dame lui montra un terrain où rien ne poussait.
Elle lui montra les plates-bandes piétinées, les profonds sillons,
Une terre profondément meurtrie.
Mais Marie cherchait du regard une autre porte.
La dame la lui désigna. Marie la reconnut immédiatement.
Abandonnant son âme d'adulte, elle en passa le seuil,
Accompagnée de sa seule âme d'enfant,
Sur la pointe des pieds.
Elle se retrouva dans un superbe jardin, aux lignes épurées.
Elle prêta l'oreille. D'où venait cette petite musique si douce ?
Ce pouvait-il que personne n'ait jamais pénétré dans ce Jardin Secret.
C'est alors qu'elle vit des traces de pas. Des pas d'enfants.
Elle les suivit avec mille précautions et arriva devant une fontaine à l'eau si claire, si pure,
qu'elle en fut toute émerveillée.
Elle resta là, sans bouger. Attentive. Les mots de la dame se confondaient avec le
frémissement de l'eau vive.
C'est alors qu'elle remarqua cette lumière extraordinaire,
Cette Lumière si belle, si rare, unique, dont elle connaissait le juste Nom.
Merci à vous, qui vous y reconnaissez.

Marie-Jeanne Maes

Vidéo sur'Eclat de beauté 'Les fées':

samedi 18 juillet 2009

Summer with the fairies


Peinture réalisée par Anne

DAEG, déesse de la lumière.

La nuit est encore là , bleutée et silencieuse.
Pourtant dans le lointain , une blancheur laiteuse ,
Virant au rose poudré et au jaune doré ,
S’étend à l’horizon , signe d’une belle journée.

Puis l’aube arrive enfin, Daeg est sa déesse.
Elle trône , lumineuse , empreinte de douceur.
Ses amies lui font fête et dansent en son honneur ,
Rituel quotidien , fait de joie et de liesse.

Le jour s’étend alors sur la nature engourdie ,
Réveillant animaux , plantes et êtres humains.
Il brillera , intense , jusqu’à l’heure du déclin ,
Laissant le crépuscule se transformer en nuit.

Daeg symbolise le feu rituel de la terre ,
Et la lumière mystique perçue par le devin.
Elle est aussi fusion , rassemblement des contraires ,
Connaissance et pénétration de tous les secrets d’Odin.

Elle est équilibre entre lumière et obscurité ,
Union de la vie et de la mort , du corps et de l’âme éclairée ,
De l’énergie et de la matière enfin réconciliées.
Aspects opposés et complémentaires d’une même réalité.
Anne

Vidéo sur'Summer with the fairies':

vendredi 17 juillet 2009

Histoire de glace......


Un peu de fraîcheur nous fera du bien aujourd'hui avec ce temps lourd et orageux! Bonne gourmandise à tous!
......................
L’histoire de la crème glacée est très ancienne et plutôt incertaine… Il n’existe pas de document racontant les origines précises de ce délice glacé.

Certaines légendes affirment que cet art nous est venu de Chine, puisqu’ils consommaient déjà des jus de fruits et thés glacés. Les Arabes préparaient également un mélange de sirop et de neige fondue appelé des "sharbets".

Vidéo sur 'Un peu de fraîcheur':

jeudi 16 juillet 2009

Jeux de jambes!



« Les jambes des femmes sont des compas
qui arpentent le globe terrestre en tout sens,
lui donnant son équilibre et son harmonie.
»L’homme qui aimait les femmes, de François Truffaut.

Les jambes permettent aux hommes de marcher et aux femmes de faire leur chemin.

Vidéo sur'Jeux de jambes:

mercredi 15 juillet 2009

Souvenirs d'Irlande, pour Enyarwen...



Dans la brume et le vent, la mer se déchaîne,
Soulevant de grandes vagues qui retombent en hurlant
Contre les noirs rochers de la côte irlandaise,
Silhouettes géantes, falaises impressionnantes,

Toute de noir vêtue, elle fixe l'horizon,
La jeune femme élancée, cheveux roux dans le vent,
Elle aime ce pays, rude et émouvant,
Avec ses tons de gris et ses prés verdoyants,

Elle attend patiemment d'apercevoir au loin,
Le bateau de celui qui habite son coeur,
Le phare sur les rochers, tourne inlassablement,
Prévenant les marins d'éventuels écueils,

Le visage de la femme s'éclaire tout à coup,
Une forme se rapproche vers son point d'ancrage,
Des cris d'hommes se mêlent au sourd fracas des vagues,
Et la femme sourit, son amour est de retour,

Ils vont passer ensemble quelques jours merveilleux,
Dans la maison de pierre, blottis au coin du feu,
Lui, racontant en détails, sa folle traversée,
Elle, buvant ses paroles, le regard fasciné,

C'est le sort de ces gens que la mer ensorcelle,
Ils sont unis à elle pour l'éternité!

Anne

Vidéo 'Souvenirs d'Irlande, pour Enyarwen:

mardi 14 juillet 2009

Quand les volcans se réveillent...



Un volcan est un relief terrestre, sous-marin ou extra-terrestre formé par l'éjection et l'empilement de matériaux issus de la montée d'un magma sous forme de lave et de tephras tels que les cendres. Ce magma provient de la fusion partielle du manteau et exceptionnellement de la croûte terrestre. L'accumulation peut atteindre des milliers de mètres d'épaisseur formant ainsi des montagnes ou des îles. Selon la nature des matériaux, le type d'éruption, leur fréquence et l'orogenèse, les volcans prennent des formes variées mais en général ayant l'aspect d'une montagne conique, surmontée par un cratère ou une caldeira[1].
Le lieu principal de sortie des matériaux lors d'une éruption se situe dans la plupart des cas au sommet du volcan, là où débouche la cheminée volcanique, mais il arrive que des ouvertures latérales apparaissent sur les flancs ou aux pieds du volcan.
Deux grands types de volcans existent sur Terre :
les « volcans rouges » aux éruptions effusives relativement calmes et émettant des laves fluides sous la forme de coulées. Ce sont les volcans de « point chaud » et les volcans sous-marins des dorsales océaniques ;
les « volcans gris » aux éruptions explosives et émettant des laves pâteuses et des cendres sous la forme de nuées ardentes ou coulées pyroclastiques et de panaches volcaniques. Ils sont principalement associés au phénomène de subduction comme les volcans de la « ceinture de feu du Pacifique ».
On compte environ 1 500 volcans terrestres actifs dont une soixantaine en éruption par an[2]. Les volcans sous-marins sont bien plus nombreux.
Le « volcanisme » est l'ensemble des phénomènes associés aux volcans et à la présence de magma. La « volcanologie » ou « vulcanologie » est la science de l'étude, de l'observation et de la prévention des risques des volcans.
Le terme « volcan » tire son origine de Vulcano, une des Îles Éoliennes nommée en l'honneur de Vulcain, le dieu romain du feu dont l'équivalent dans le panthéon grec est Héphaïstos.

Vidéo sur les volcan:

lundi 13 juillet 2009

Les Touaregs



Les Touaregs

Les gens du désert

Les hommes, harassés de fatigue, la gorge desséchée,
arrêtent la caravane à l'ombre des palmiers;
Une oasis de paix dans l'immensité d'or;
Leurs mains plongent dans l'eau comme dans un trésor,

Désert infini, ami ou ennemi?
Chaleur insupportable du jour, froid glacial de la nuit;
Tempête de sable, balayant tout sur son passage,
brûlant les paupières et cinglant les visages,

Le ciel rosit, le soleil est déjà très chaud,
Enveloppés dans leurs grands manteaux,
Les caravaniers, après une nuit de repos,
vont reprendre la route, au dos de leurs chameaux,

Leur vie est difficile, aride comme le désert,
mais ils aiment cette vie, c'est leur seul univers,
Ils voyageront toujours, vendant ou achetant,
jusqu'au jour de leur mort dans le sable brûlant,
Anne

Vidéo sur 'Peintures sur les Touaregs':

dimanche 12 juillet 2009

Aux portes de l'imaginaire!



Le jardin de l'imaginaire

Une cathédrale de verre
dans un gouffre au fond de la terre
et nos mains qui se font des signes
se cabrent et puis dessinent
des chemins de lumière

Dans le jardin de l'imaginaire...
Des théâtres de verdure
des labyrinthes de buis
où l'on se perd
des fontaines en pierre
d'où la poésie jaillit
colore la vie ordinaire
d'un rouge capucine
on entre sans repère

Dans le jardin de l'imaginaire...
Des fleurs de rocaille
des feuilles argentées
encadrées de haies
de barrières à contourner
où l'amour trépigne
comme un cheval ailé
D'étranges coursiers
dans la voie lactée
des mondes étoilés
qui prennent vie
au pouls de l'univers
des bancs de corail
où la vie prospère

Dans le jardin de l'imaginaire...
Des ombres au fond d'une grotte
des silhouettes passagères
d'un monde oublié
des oiseaux picorent
des grappes de raisin
aux fresques des villas
Dans les allées
d'étranges mandalas
dans le sable effacés
les signes du destin
s'évadent d'un crayon
d'un logiciel, d'un dessin,
calligraphié sur l'éphémère

Dans le jardin de l'imaginaire...
L'œil choisit
chavire et perd
tous ses repères
la main cherche
dans les réflexes, les sensations,
la mémoire et l'oubli
Nos pas tâtonnent
mais tracent
comme un itinéraire
laissent une empreinte
du temps qui passe
comme un soulier de vair

Dans le jardin de l'imaginaire...
(Sarfaga)

Vidéo sur'Aux portes de l'imaginaire':

samedi 11 juillet 2009

vendredi 10 juillet 2009

Mon amour, mon ange...


Poème trouvé sur le net:

Mon ange mon amour
Entonner sans cesse
Ces mots comme une caresse
Te les glisser en toi
Et me blottir dans tes bras
Me rendre douce contre toi
Une étoile en soie
Serrer contre ton cœur
Tous tes mots sur mon corps

Mon ange mon amour
Que je t’aime chaque jour
L’univers, ma foi
Est si plein de toi
Tu murmures dans la nuit
Des doux mots si jolis
Qu’ils frissonnent en mon âme
Et attisent ma flamme
Tes lèvres adorées viennent
Caresser mes pensées
Toujours adorée
Je rayonne de beauté

Mon ange mon amour
Je t’aime jour après jour
Une araignée dans mon cœur
Tisse des mots d’amour pour toi
Et j’imprègne l’atmosphère
De pleins de mots de lumière
Des doux mots de tendresse
Ivresse rien que pour toi

Mon ange mon amour
Tu es si plein de tendresse
Que frissonne ma voix
Dès que je te vois
Tu es toute ma lumière
Tu éclaires tous mes pas
Et si je tombe la première
C’est pour mieux me jeter dans tes bras
Serres moi fort, encore
Mon ange mon amour

Mon ange mon amour
Entonner sans cesse
Ces mots comme une caresse
Exhaler de ton amour
La nuit le jour
Et emplir l'univers
de mots d'amour
rien que pour toi!

morjane

Vidéo sur'Mon amour, mon ange':

jeudi 9 juillet 2009

'Les étapes de la vie'



Etapes de la vie,,,

L'enfant vient dans ce monde;
comme un visiteur,il est accueilli
par ses hôtes que le bonheur inonde,
et de ses yeux,l'innocence jaillit.

Il s'en va ensuite comme un oiseau qui vole,
pourtant sans passer par des rites,
car il doit prendre son envol,
pour devenir un homme accompli, mais pas comme dans les mythes.

Puis vient l'adolescent,
se voyant grandir et devenir adulte,
découvrant la vie comme il la sent,
sans négliger ce qu'il en sait déjà,mais sur une autre facette.

Celui-ci s'en va ensuite,
pour vivre en homme accompli,
il laisse tout pour être adulte,
puis petit à petit, il se sent partir, de plus en plus loin d'ici.

La vieillesse consume en lui,
déformant son corps,
l'affaiblissant de plus en plus
et le conduisant vers son sort.

Et c'est ainsi que l'enfant devient adolescent,
et que celui-ci devient un adulte vieillissant,
jusqu'à ce que la chair ne soit plus chair,
et qu'il prenne un nouvel envol.

D'après Jeanne-Christiane Muneza

Vidéo sur 'Les étapes de la vie':

mercredi 8 juillet 2009

'Amour de chats'


Le chat est mon animal domestique préféré! J'aime son côté indépendant, parfois caractériel, et aussi ses beaux yeux fascinants! Mais il demande aussi souvent des caresses et de l'amour comme tout être vivant!

LE CHAT

Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux;
Retiens les griffes de ta patte,
Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux,
Mêlés de métal et d'agate.

Lorsque mes doigts caressent à loisir
Ta tête et ton dos élastique,
Et que ma main s'enivre du plaisir
De palper ton corps électrique,

Je vois ma femme en esprit. Son regard,
Comme le tien, aimable bête,
Profond et froid, coupe et fend comme un dard,

Et, des pieds jusques à la tête,
Un air subtil, un dangereux parfum,
Nagent autour de son corps brun.

(C.Baudelaire - Les Fleurs du Mal)

Vidéo sur'Amour de chats':

mardi 7 juillet 2009

De quoi rêvent les fées?


Rêve de fée...
Rêve de jour, songe de nuit, petite fée,
Je vole aux comètes leur traine de poussière.
D'or et d'argent, je saupoudrerai vos paupières,
Pour donner à la vie des élans de gaieté.
Rêve de jour, songe de nuit, petite fée,
Mes soeurs sont légions qui volent au gré du vent,
Dans les combes forestières d'un autre temps,
Où les âmes d'enfants viennent y séjourner.
Rêve de nuit, songe de jour, petite fée,
Ouvre le livre au fermoir de fer ouvragé.
Sur ses pages enluminées, on dirait,
Que les légendes ont pris vie et liberté.
Rêve de nuit, songe de jour, petite fée,
Vient écouter l'homme qu'on nomme paladin,
Chevalier blanc à la lyre de baladin,
Qui te contera ses récits à la veillée.
Oublie que tu es vouée à la mortalité,
Que tu n'es qu'une humaine avec bagages,
Pour qui la vie est un fantastique voyage.
Le monde est tout à toi, continue de rêver...
Claudine

Vidéo sur 'De quoi rêvent les fées?:

C'est aujourd'hui la pleine lune!

Peinture réalisée par Anne

Juillet: La Lune des Prés

Connue également sous le nom de lune d'hydromel, lune des bénédictions, lune de la chance, lune du tonnerre et lune des foudres, la lune des prés amène l'enchantement, la santé, le renouveau, le succès et la force, Elle apporte les premières moissons, les premiers résultats du fruit de vos labeurs, C'est le moment idéal pour la célébration et pour l'accomplissement d'un acte magique, C'est le temps de ramasser vos herbes magiques et de faire un peu de magie pour la prospérité afin d'obtenir l'augmentation que vous auriez méritée,
(La Wicca)

Vidéo sur 'Magic of the full moon!:

lundi 6 juillet 2009

'Charmes de femmes'


Poème trouvé sur le net:

Femmes

De toutes difficultés se faisant fi,
Dame nature avec succès d'elles fît
Ces êtres qui de tant de beauté,
De grâce et de charme sont dotées.

Nature qui créa d'un moule au précieux plâtre,
De vivantes sculptures auxquelles seul peut résister,
Le coeur du saint homme où seul peut exister,
L'aveugle amour de ce Dieu qu'il idolâtre.

C'est ainsi qu'obnubiler par leur seule apparence,
Peu s'en fallut alors que par pure négligence,
Elle ne commette ainsi l'inexcusable carence,
De ne doter leurs chairs d'aucune intelligence.

Dès lors pour pallier erreurs et combler tout nos sens,
Elle obtint de son savoir et de secrètes connaissances,
D'utiles réponses, afin que toutes imperfections
A jamais disparaissent en d'ultimes réfections.

Leurs corps sont sublimes à bien des égards,
Puisque tout homme par d'alertes regards,
Se perd sans peur en d'inévitables détours,
Sur leurs silhouettes aux envoûtants contours.

Ne souffrant pourtant d'aucunes comparaisons,
Distillant d'hypnotiques et rares exhalaisons,
Leur peau a la douceur des plus beaux satins,
La fraîcheur et l'éclat de la rosée du matin.

Berçant nos âmes d'une voix pure et mélodieuse,
Faisant pâlir des fleurs la beauté radieuse,
Leurs lèvres, à l'exquise saveur exotique,
Dispensent baisers aux promesses extatiques.

C'est donc pour dissiper en vous toutes lacunes,
Et convaincre d'entre vous les plus sceptiques et rétifs,
Que j'ai tenter en vers et sans prétentions aucune,
De dresser de leurs atouts un inventaire constructif.

(Alvès Michel)

Vidéo sur'Charles de femmes':

dimanche 5 juillet 2009

Mois de Juillet!



Juillet:

Juillet est mon âge mûr,
ainsi qu' Avril fut celui de mon adolescence,
Ainsi que Janvier fut celui de mes premiers pas,
Moins de lumière, plus de chaleur,
Les flammes lèchent la Terre,
Les moissons lèvent comme une pâte
Et crépitent comme dans un four,
Baigné dans l'Amour Divin,
Je supporte sans faiblir sa brûlure,
Et j'endure son incandescence
Sans que mes yeux soient éblouis!
(G, Barbarin)

Ma grand-mère avait deux beaux coquillages, de couleur beige avec des taches marrons! J'en pris un, on aurait dit de la porcelaine, et ma grand-mère me dit:
Mets-le près de ton oreille, tu entendras la mer!
Sceptique, je lui obéis et...... j' entendis les vagues!
C'est un très beau souvenir et j'ai hérité aujourd'hui un de ces coquillages que je garde précieusement en pensant à elle!
Anne

Vidéo sur'Et dans le coquillage, j'ai entendu les vagues':

samedi 4 juillet 2009

'Enchanted forest'



Et puisqu'il y a aussi des fontaines dans la forêt enchantée, voici un petit poème trouvé sur le net:

La Fontaine Enchantée

C'était un soir d'été,
J'étais seule et j'arpentais le sentier,
Je sentais la fatigue écrasante sous mes pieds,
Mais que de bonheur à se balader en ce lieu enchanteur et enchanté,
Je fis un détour près du ruisseau pour m'abreuver un peu,
Soudain en regardant par-dessus mon épaule,
je vis une silhouette se dessiner peu à peu.
Ce fut comme-ci mon coeur s'était arrêté,
Elle portait une longue robe d'un rouge éclatant,
Et autour de son front un magnifique diadème sublimant
sa magnifique chevelure tressée,
Elle tenait en ses mains délicates une harpe toute de bois sculptée,
Faisant résonner la douce mélodie des fées,
Son regard doux et rieur,
Et un sourire à vous faire battre le coeur,
Elle m'apporta tant de plaisir et de bonheur,
Que même l'homme le plus fou ne peut en rester rêveur,
Mais soudain, je fus surpris par un lapin sortant d'un bosquet,
Et à peine ai-je eus le temps de me retourner,
La Belle s'en est allée,
La magie de sa harpe restera à jamais gravée,
Ainsi que sa beauté éloquente, je ne pourrais oublier.
Ainsi se termine l'histoire de la belle fée et sa harpe enchantée.
N'hésitez pas à vous arrêter près de cette fontaine,
Et qui sait, vous sentirez peut-être un doux parfum fruité...
Morwena

Vidéo sur'Enchanted forest':

vendredi 3 juillet 2009

Sculptures de neige et de glace


Le sculpteur

Dans la masse uniforme il va créer son oeuvre.
Ses mains fébrilement cherchent, aiment toucher
Et petit à petit ainsi pendant des heures
Il voit naître la forme qu'il a voulu sculpter.

Ses gestes sont précis, avec force il façonne,
Il modèle, il creuse, il courbe lentement,
La matière complice, s'offre et s'abandonne,
Ou parfois lui résiste avec entêtement.

Mais le don est plus fort, il habite son être,
Il occupe ses jours et il hante ses nuits,
Car à chaque sculpture c'est lui qui est le maître
En devenant tyran, et toujours sûr de lui.

Il lui vole sa vie et un peu de son âme
Exigeant un détail ou la belle expression
Mais dans l'œuvre achevée il a posé sa flamme,
Pour en faire un chef d'œuvre créé avec passion.

Nicole Nourrit Crouzat

Vidéo sur 'Sculptures de neige et de glace':

jeudi 2 juillet 2009

La calligraphie



La calligraphie est, étymologiquement, l'art de bien former les caractères d'écriture. Ce mot provient des radicaux grecs κάλλος / kállos (« beau ») et γράφειν / gráphein (« écrire »). Presque toutes les civilisations qui pratiquent l'écriture ont développé un art de la calligraphie. Toutefois, certaines d'entre elles l'ont élevé à un statut spécial en fonction de contextes historiques ou philosophiques particuliers.

Dans plusieurs civilisations orientales la calligraphie fait partie des sciences occultes, hiérurgie (la pensée, le pinceau, le trait et l'idée philosophique sont indissociables). Elle est aussi en occident l'art des moines copistes et enlumineurs.

Vidéo sur 'La calligraphie':

mercredi 1 juillet 2009

Sur un air de valse.......


Petit poème trouvé sur le net:

La valse de mes soupirs

En eaux dormantes, fleuve indolent,
Ma vie s’étire paisiblement.
Je soupire d’ennui, alanguie,
L’esprit voguant aux rêves lointains.

Les vestiges épars de mon cœur
Glissent lentement sur l’onde claire
Et je soupire après mes erreurs
Et j’en oublie les heures amères.

Je me souviens de ce tendre émoi
De mon cœur affolé, rougissant
Et les soupirs qui naissaient pour toi
Déjà le jour s’en va, finissant.

L’heure est à l’été, et je m’en vais
De mon pas trop pressé d’oublier
Les soupirs merveilleux qui savaient
Si bien réchauffer mon cœur glacé.
(Amapoésia)

Vidéo sur'Sur un air de valse':